Mon parcours
J’ai intégré un parcours universitaire de psychologie après le bac à l’université St Jean d’Angely à Nice jusqu’en licence. Puis poussée par la curiosité et l’appétence pour l’aventure j’ai parcouru en Australie, en Asie du Sud Est, au Cameroun et de nombreux pays d’Europe. J’ai pu, au travers de rencontres interculturelles et de situations propices à l’introspection, penser les apports universitaires comme grille de lecture du monde qui m’entoure. C’est à ce moment que le sens du mot « paradigme » a pris toute son ampleur.
La curiosité et l’appétence pour l’aventure et les voyages se sont déplacées vers une appétence pour la connaissance du fonctionnement psychique à l’intérieur du lien social. Nourrie par les sciences humaines et intriguée par les dynamiques de groupe (qu’il soit culturel, social ou professionnel), j’ai orienté la suite de ma formation vers un cursus clinique, psychanalytique, interculturel à l’université Jean Jaurès à Toulouse.
parcours professionnel
Mon engagement éthique
Enfin, pour citer un de mes enseignants « le premier outil du psychologue, c’est lui-même », la fonction du psychologue et la place qu’il occupe au sein de l’institution et dans la relation clinique sont au carrefour de trajectoires transférentielles et d’identifications projectives. Une de ses tâches principales est de se laisser traverser par les affects et les différents types de nouage transférentiel sans s’y laisser prendre afin de conserver ses capacités d’analyses. Cette tâche, aussi ardue soit-elle, s’élabore selon trois axes : travail sur soi / travail de la théorie / supervision. Un triptyque qui, selon moi, constitue est un gage de sérieux dans la profession et soutient ainsi mon éthique professionnelle.
Ma formation
C'est au terme de la licence de psychologie à l'Université St d'Angely (Nice) que, poussée par la curiosité et l'appétence pour l'aventure, j'ai interrompu mes études afin de voyager. J'ai pérégriné entre l'Australie et l'Europe en passant par l'Asie du Sud-Est et le Cameroun.
J’ai pu, au travers de rencontres interculturelles et de situations propices à l’introspection, penser les apports universitaires comme grille de lecture du monde qui m’entoure. C’est à ce moment que le sens du mot « paradigme » a pris toute son ampleur.
La curiosité et l’appétence pour l’aventure et les voyages se sont déplacées vers une appétence pour la connaissance du fonctionnement psychique à l’intérieur du lien social. Nourrie par les sciences humaines et intriguée par les dynamiques de groupe (qu’il soit culturel, social ou professionnel), j’ai orienté la suite de ma formation vers un cursus clinique, psychanalytique, interculturel à l’université Jean Jaurès à Toulouse.
Parcours professionnel
J’ai travaillé dans des milieux très éclectiques avec des publics tous très différents et présentant chacun des problématiques singulières.
Des personnes âgées aux enfants / adolescents, en passant par des adultes en situation de grande précarité demandant l’asile ou ayant à faire avec des pathologies psychiatriques, j’ai abordé chaque lieu d’exercice et chaque situations avec un désir de rencontre inhérent à l’établissement d’une bonne alliance thérapeutique.
À côté de mon activité « clinique » à proprement parler, j’ai ressenti le désir de me former à l’Analyse des Pratiques Professionnelles. En effet, mon intérêt pour la psychologie des groupes m’a naturellement amené vers cette pratique.
J’ai donc suivi une formation avec Catherine Farzat qui, forte de son expérience dans l’Analyse des Pratiques Professionnelles de type Balint, forme des professionnels de l’écoute à cette méthode (vous trouverez certains de ses articles en lien dans l’onglet « méthode Balint »).
Mon engagement éthique
Enfin, pour citer un de mes enseignants « le premier outil du psychologue, c’est lui-même »,
la fonction du psychologue et la place qu’il occupe au sein de l’institution et dans la relation clinique sont au carrefour de trajectoires transférentielles et d’identifications projectives.
Une de ses tâches principales est de se laisser traverser par les affects et les différents types de nouage transférentiel sans s’y laisser prendre afin de conserver ses capacités d’analyses. Cette tâche, aussi ardue soit-elle, s’élabore selon trois axes : travail sur soi / travail de la théorie / supervision.
Un triptyque qui, selon moi, constitue est un gage de sérieux dans la profession et soutient ainsi mon éthique professionnelle.
Ma formation
Initiale
Master 2 de psychologie parcours Psychologie Clinique, Psychanalytique, Interculturelle ;
Université Toulouse 2 Mention Très Bien, Félicitations du Jury
- Mémoire de professionnalisation sur « l’engagement du corps du thérapeute dans la relation transférentiel et ses effets thérapeutique ».
- Mémoire de recherche sur « la métabolisation du trauma et l’interculturation positive »
Continue
- Formation d’intervenante en Analyse des Pratique Professionnelle de type Balint
- Programme Psychanalytique de Bastia
- Collège Clinique de Toulouse